La DNAI

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Propos traduits de l'anglais par A. Brockly,

 

selon documents officiels de NBIA Alliance rédigés par :

Eamonn R Maher, Penelope Hogart, Marjorie Illingworth, Manju Kurian, Allison Gregory, Susan Hayflick.

La Dystrophie Neuro Axonale Infantile

 

Informations générales

 

Les noms utilisés pour cette maladie :

  • Dystrophie Neuro Axonale Infantile (DNAI)
  • Neuro dégénérescence avec accumulation de fer dans le cerveau (NBIA en anglais)
  • PLAN atypique (phospholipase A2 de la Neuro dégénérescence associée)
  • Maladie de Seitelberger (terme plus couramment utilisé)

Qu’est-ce que la DNAI ?

 

La DNAI est une maladie rare, progressive, neuro dégénérative et mortelle. Elle est causée par des mutations dans le gène PLA2G6. Il existe d’autres maladies provoquées par des mutations de PLA2G6 mais la DNAI est la plus commune.

 

Malheureusement, il n’existe aucun remède pour la DNAI, mais une équipe de professionnels de la santé peut aider à améliorer les symptômes de la maladie et la qualité de vie de l’enfant ainsi que de la famille.

 

La DNAI est malheureusement une maladie mortelle. La mort survient généralement avant le 10ème anniversaire de naissance. Les enfants commencent à vivre plus longtemps grâce aux médecins qui apprennent à mieux s’occuper d’eux pendant les derniers stades de la maladie.

 

Signes et symptômes :

 

Les symptômes de la DNAI commencent généralement entre 6 mois et 2 ans. Il n’y a généralement pas de préoccupation pour les parents, les soignants et les professionnels avant l’apparition des symptômes.

La DNAI est une maladie « neuro dégénérative ». Cela signifie que les nerfs dans tout le corps et le cerveau commencent à se détériorer parce que le gène PLA2G6 ne fonctionne pas correctement.

 

Régression du développement :

Un enfant atteint perdra une partie de ses compétences. Par exemple, ils peuvent cesser de parler/babiller, ne plus marcher ou devenir incapables de s’asseoir. Cette perte de compétences est souvent la première chose que les parents remarquent. La régression du développement n’est pas spécifique à la DNAI et se produit dans de nombreuses autres conditions neuro dégénératives. Parfois, l’enfant va d’abord commencer à ralentir dans réalisation de jalons ou les atteindre tard, puis finalement commence la régression.

 

Une perte de vision :

La vision est couramment affectée assez tôt dans la DNAI. Les yeux peuvent faire des « à coup » d’un coté et de l’autre. Ceci s’appelle « nystagmus ». L’enfant peut développer un strabisme (yeux croisés ou « strabismus »). Du fait que les nerfs à l’arrière soient dégénérés, les enfants touchés ne peuvent souvent pas voir comme avant.

 

Altération dans le mouvement et de la fonction moteur :

Les nerfs qui contrôlent les muscles dans le bras, les jambes, le tronc et le cou se dégénèrent. Le tronc peut être faible et bancal et il peut être difficile pour l’enfant de tenir la tête correctement. Les symptômes de la DNAI commencent souvent avant que l’enfant ne marche indépendamment. S’ils ont appris à marcher, ils peuvent commencer à tomber fréquemment ou commencer à marcher d’une manière inhabituelle. Finalement, ils seront incapables de marcher.

 

Au fil du temps, les jambes et les bras deviennent raides et peuvent développer des contractures. Cela survient quand les genoux / coudes / poignets / chevilles, deviennent de façon permanente fixés dans certaines conditions. Les contractures se développent parce que la tonicité dans les muscles est trop élevée (en raison de messages anormaux de dégénérescence des nerfs dans le cerveau et dans les membres).

 

L’augmentation de la tonicité et de signaux nerveux anormaux provoquent également des « réflexes » qui deviennent anormaux. Initialement, les réflexes saccadés peuvent être excessivement rapides, et répétitivement instables ; cela s’appelle « clonus ». Lorsque le clonus est très grave, il peut être provoqué par simple toucher du pied. Il n’est pas douloureux, mais peut devenir inhabituel. Au cours du temps, la neuro dégénérescence progressive conduit à des réflexes qui ne peuvent plus être présents du tout (arreflexia).

 

Problèmes d'alimentation :

Comme la maladie progresse (au cours des mois et des années) l’enfant peut commencer à baver et peut être incapable de se nourrir et d’avaler comme avant.

 

Les crises :

Certains enfants développent des crises, Ceci est relativement rare et est dû à la dégénérescence des nerfs dans le cerveau. Les crises se font souvent tard au cours de la maladie.

 

Microcéphalie (faible croissance de la tête) :

La taille de la tête de l’enfant affecté est généralement normale à la naissance et jusqu’à ce que des signes de la maladie apparaissent. Cependant, au fil du temps, à cause de la neuro dégénérescence, parfois la tête cesse de croître. Les pédiatres et les professionnels de la santé peuvent mesurer la tête de l’enfant et la tracer sur une carte pour voir son taux de croissance.

 

Déclin cognitif :

En raison de la neuro dégénérescence, il y a une diminution de l’intellect. Dans la DNAI, cette détérioration de la cognition se produit pendant l’enfance.

 

Quelles sont les causes de la DNAI ?

 

La DNAI est une maladie génétique héréditaire causée par un gène défectueux. Elle est due à des mutations (anomalies) du gène PLA2G6. C’est une maladie autosomique récessive, ce qui signifie qu’un enfant atteint a hérité de deux copies de la mutation (défaut) du gène-un de chaque parent. Les deux parents ont généralement une copie défectueuse du gène et une copie normale du gène, ce qui les rends comme indemnes « vecteurs de la maladie », sans symptômes de la maladie. 2/3 des frères et sœurs en bonne santé de l’enfant affecté sont susceptibles d’être porteurs sains, avec une copie du gène « défectueux » et une copie qui fonctionne normalement. 1/3 des frères et sœurs sont susceptibles d’avoir deux copies normales. Ils ne seront pas porteurs de la mutation de PLA2G6 défectueux.

 

En termes de risques pour les grossesses futures, il y a 25% (1 sur 4) de possibilités qu’un futur enfant né aux mêmes parents soit affecté (avec deux copies du gène défectueux), 50% (1 sur 2) qu’un futur enfant soit un « porteur » non-affecté (une copie du gène défectueux et une copie qui fonctionne normalement), et 25% (1 sur 4) de chance qu’ils ne soient pas affectés avec deux copies du gène de PLA2G6 normaux.

 

Les équipes médicales de recherche travaillent dur pour en savoir toujours plus sur le rôle de PLA2G6 dans la maladie.

 

Comment le diagnostic peut-il être fait ? Quels tests peuvent être nécessaires ?


Le scanner du cerveau / IRM :

L’IRM est fait pour aider à faire le bon diagnostic et exclure d’autres causes de la neuro-dégénérescence.

 

Dans la DNAI, des parties spécifiques du cerveau peuvent paraître anormales. Le dépôt de fer dans le cerveau n’est généralement pas détecté tôt dans la DNAI, mais peut se développer plus tard dans le cours de la maladie. Plus tôt dans la maladie il peut y avoir une atrophie dans la région appelée le cervelet.

Le scanner du cerveau fournit des indices pour aider les médecins a effectuer des tests appropriés pour les diagnostics spécifiques.

 

Neurophysiologie :

La Neurophysiologie est un test électrique qui est entrepris par un spécialiste. Encore une fois, il est utile de fournir des indices sur ce que pourrait être la cause des symptômes dans les nerfs et les muscles avant que le diagnostic soit fait.

 

Electro encéphalogramme :

L’électro encéphalogramme est un test des ondes cérébrales qui n'est entrepris que si l’enfant a des crises. Il est entrepris par des spécialistes et est indolore.

 

Tests oculaires :

Si l’enfant concerné ne semble pas être « voyant » autant qu’avant, ou s’il a un positionnement de l’œil anormal ou si les yeux font des mouvements, un examen par un ophtalmologiste sera demandé. L’ophtalmologiste peut regarder les nerfs à l’arrière de l’œil et peut également faire d’autres tests afin de déterminer la façon dont les connexions électriques entre les yeux et le cerveau travaillent.

 

Les analyses de sang:

Le test des gènes est effectué en prélevant un échantillon de sang de l’enfant atteint. Si l‘enfant a deux copies du gène muté PLA2G6, faire un test des gênes sur les parents de sang est important pour aider à confirmer le diagnostic, et pour fournir des informations pour l’avenir de la « planification familiale ».

 

La biopsie des nerfs :

Avant l’identification des mutations de PLA2G6 comme étant la cause de la DNAI, des biopsies nerveuses (en prenant un petit échantillon de tissu nerveux du patient) étaient monnaie courante. La DNAI a des caractéristiques spécifiques sur la biopsie « nerveuse sphéroïdes ». Une biopsie des nerfs est une procédure chirurgicale mineure mails elle est maintenait rarement entreprise pour la DNAI parce ce que le test génétique est disponible, qui est considéré comme la meilleure façon pour faire un diagnostic.

 

Traitement

 

Malheureusement, il n’existe actuellement aucun remède pour la DNAI. Le traitement sert à « supporter » la maladie, visant à minimiser les symptômes et l’optimisation de la qualité de vie pour l’enfant et la famille.

 

Contractures :

Des exercices d’étirement passifs et attelles peuvent aider à minimiser le développement de contractures et améliorer le tonus musculaire. Parfois, des traitements plus intensifs (injections de toxine botulique, opérations-allongement du tendon, …) sont indiqués, mais les contractures peuvent revenir.

 

Spasmes musculaires :

Les spasmes musculaires peuvent se produire en raison des épisodes dus au degré de tonus musculaire et peuvent être douloureux. Le pédiatre et le neurologue peuvent prescrire des médicaments (tels que le baclofène et trihexyphenidyl) pour aider à les minimiser.

 

Bave :

Des patchs et des médicaments (hyoscine, glycopyrolate) sont disponibles pour aider à contrôler un excès de salive et les secrétions.

 

Alimentation :

Puisque les muscles de l’alimentation (muscles bulbaires) se dégénèrent, l’enfant concerné est susceptible d’avoir besoin d’aide pour s’alimenter.

 

Les enfants touchés ont aussi le risque « d’aspirer » la nourriture dans leurs poumons (la nourriture descend dans le mauvais sens). Cela arrive parce que les nerfs liés aux muscles de protection qui ferment le tuyau de la déglutition ne fonctionnent pas correctement. Cela peut causer de l’inconfort immédiat, mais surtout peut mettre la vie en danger et provoquer des difficultés respiratoires.

 

Il est donc très important que les enfants atteints de DNAI soient alimentés de manière appropriée et en toute sécurité pour maintenir l’état nutritionnel. Ils auront besoin de la participation régulière à la fois de l’orthophonie et des services de diététique.

 

Les enfants atteints ont souvent besoin de s’alimenter via un tube (ce peut être initialement sous la forme d’un tube inséré dans la narine qui va dans l’estomac). Le tube gastrotomie percutanée endoscopique est un moyen plus permanent pour s’alimenter. Dans ce cas, un chirurgien fait un petit trou sur l’abdomen et y place un « bouton », qui peut être facilement connecté à un tube d’alimentation en cas de besoin, par les parents/tuteurs de l’enfant. Ces stratégies d’alimentation visent à préserver un bon état nutritionnel de ces enfants, ainsi que la prévention des complications telles que l’aspiration.

 

Reflux gastro-oesophasien :

Parce que les muscles d’alimentation ne reçoivent pas les messages corrects des nerfs, les enfants atteints ont généralement un reflux gastro-œsophagien. Cela signifie que les contenus acides de l’estomac ont tendance à revenir jusqu’à l’œsophage (tube alimentaire). Cela peut causer de l’inconfort, des cambrures générales du corps et des vomissements. Cependant, il est important que ce soit traité, si c’est le cas, pour prévenir les complications. Les traitements incluent les médicaments anti-reflux pour réduire l’acide gastrique (Gaviscon, oméprazole, ranitidine) et parfois une intervention chirurgicale (fundoplicature) pour empêcher l’acide de l’estomac et la nourriture remontant dans le tube alimentaire. Parfois, le chirurgien peut faire une fundoplicature au moment de l’insertion du tube gastrotomie percutanée endoscopique.

 

Vision :

Malheureusement, il n’existe pas de traitement spécifique disponible pour améliorer la vision, puisque les nerfs endommagés ne peuvent pas être réparés. Cependant, les thérapeutes et les spécialistes peuvent fournir des conseils sur la façon d’améliorer la stimulation sensorielle pour les enfants malvoyants.

 

Crises :

Si l’enfant affecté développe des crises, celles-ci peuvent être soignées par un médicament anti-convulsif pour traiter les crises (liquides ou comprimés). Ce doit être surveillé par un pédiatre ou un neurologue pédiatrique.

 

Scoliose :

En raison du tonus réduit du corps, la colonne vertébrale de l’enfant peut devenir tordue. Cela peut causer de l’inconfort et peut surtout avoir un impact sur la respiration si cela affecte la taille ou la forme de la cavité thoracique. Il est important que les soignants et les professionnels soient vigilants sur le potentiel de développement de la scoliose.

Un corset peut être prévu pour prévenir la progression de la scoliose. Ils sont généralement faits sur mesure pour l’enfant par un orthésiste. Parfois, la chirurgie est nécessaire et un chirurgien spécialiste des vertèbres peut y être impliqué. Toutefois, la décision sur la chirurgie de la scoliose doit être pesée en termes de bénéfice potentiel et du risque pour l’enfant.

 

La respiration et la poitrine :

Les enfants atteints courent un risque accru d’infections à la poitrine, et ceci pour plusieurs raisons. Tout d’abord, les muscles qui supportent la respiration se détériorent progressivement. Deuxièmement, les enfants atteints de DNAI sont susceptibles d’avoir une toux faible, ce qui rend difficile pour eux d’évacuer les infections. Troisièmement, les enfants atteints ont un risque « d’aspiration ». C’est pourquoi il est important pour eux d’être nourris en toute sécurité (et souvent c’est par sonde nasogastrique ou tube gastrostomie percutanée endoscopique. Il est difficile pour les enfants d’évacuer les sécrétions de manière adéquate, ce qui conduit à baver, mais peut également mener à l’aspiration.

Pour ces raisons, s’ils sont alimentés par voie orale ou par sonde, les enfants atteints de DNAI sont à risque accru d’infections pulmonaires.

 

Les parents et les soignants peuvent être enseignés sur des exercices spéciaux de physiothérapie sur la poitrine, afin d’aider l’enfant à enlever des accumulations de sécrétions de leurs poumons et de prévenir les infections. Parfois, au cours des mois d’hiver, les enfants reçoivent les vaccins antigrippaux, et si les infections sont fréquentes, un antibiotique préventif à faible dose peut être administré (quelques fois par semaine) pour tenter de prévenir les infections pulmonaires de se développer.

 

Les enfants atteints peuvent nécessiter une hospitalisation quand ils ont même des infections pulmonaires apparemment mineures par l’oxygène et antibiotiques par voie intraveineuse.

 

Aide à la communication :

Il y a d’excellentes technologies d’assistance disponibles pour préserver la communication pour les enfants atteints de DNAI. Les orthophonistes travaillent avec des experts pour des appareils fonctionnels, qui peuvent répondre aux besoins de chaque enfant handicapé neuro dégénératif et leurs familles.

 

Professionnels impliqués :

 

Il y a de nombreux professionnels impliqués dans les soins d’un enfant atteint de DNAI. Il peut s’agir :

 

  • D’un pédiatre : un pédiatre consultant possède une expertise spécialisée dans les soins aux enfants atteints de troubles complexes comme la DNAI. Le pédiatre consultant supervisera et organisera tous les services dont l’enfant est susceptible d’avoir besoin.
  • D’un neurologue pédiatrique : celui-ci est susceptible d’être impliqué souvent pour le diagnostic et la gestion d’experts du tonus, convulsions, etc.
  • D’un physiothérapeute : Le physiothérapeute aidera à montrer aux soignants des exercices d’étirement qui peuvent ralentir le taux de développement de contractures, ainsi que d’aider à organiser une attelle, le moulage et la toxine botulique au besoin.
  • D’un thérapeute professionnel : il peut fournir des équipements, dispositifs de sièges spéciaux, des conseils sur les fauteuils roulants et équipements pour rendre la maison sécuritaire, accessible et pratique pour l’enfant et la famille.
  • De gastro-entérologues, diététiciens et chirurgiens : du fait que les muscles de l’alimentation (muscles bulbaires) dégénèrent, l’enfant concerné est susceptible d’avoir besoin d’aide à l’alimentation. Cela peut être initialement sous la forme d’un tube inséré dans la narine qui va dans l’estomac. Un tube gastrotomie percutanée entéral est un moyen plus permanent de l’alimentation. Dans ce cas, un chirurgien fait une petite incision dans l’abdomen et place un « bouton » qui peut être relié à un tube d’alimentation par un soignant. Un diététicien peut assurer un apport calorique adéquat. Parfois, les gastro-entérologues sont nécessaires pour aider avec le reflux sévère et d’autres problèmes de l’intestin.
  • Généticiens et conseillers génétiques : souvent, les parents des enfants touchés par les conditions génétiques rares trouvent utile de rencontrer des spécialistes dans les maladies héréditaires : ce sont  les généticiens et les conseillers en génétique. Les deux peuvent fournir des informations sur les maladies de la famille et peuvent offrir des conseils aux couples sur la planification de nouvelles grossesses.

 

L'avenir

 

La DNAI est une maladie génétique neuro dégénérative irréversible pour laquelle il n’existe actuellement aucun remède. Les chercheurs et les professionnels de la santé travaillent ensemble pour en savoir plus sur la fonction précise du gène PLA2G6 et comment les mutations conduisent à différentes caractéristiques de la maladie. Ce travail sera vital dans le développement, des traitements plus spécifiques ciblés pour la DNAI.

 

La DNAI fait partie d’un groupe de maladies associées à l’accumulation de fer dans le cerveau. Un essai (TIRCON de première instance) est actuellement en cours pour l’utilisation d’agents chélateurs de fer dans la neuro dégénérescence pantothénate kinase associée (PKAN en anglais). En cas de succès, il est concevable que des essais similaires soient entrepris pour la DNAI à l’avenir.

 

A propos des collaborateurs

 

Dr Marjorie Illingworth est une consultante en pédiatrie neurologue avec un intérêt spécialiste des troubles neuromusculaires à Southampton University Hospitals NHS Foundation Trust.

 

Dr. Manju Kurian est une clinicienne intermédiaire Wellcome à l'UCL-Institut de la santé infantile et consultante honoraire en neurologie pédiatrique au Great Ormond Street Hôpital. Elle a est spécialisée dans les troubles du mouvement et des maladies neuro dégénératives d'origine génétique.

 

Allison Gregory, MS, CCG est une conseillère en génétique et instructrice de recherche à l'Oregon Health & Science University.

 

Dr Susan Hayflick est professeur et présidente de génétique moléculaire et médicale et professeur de pédiatrie et de neurologie à l'Oregon Health & Science University.